Directement interpellée, j’ai souhaité m’élever contre la calomnie et le mensonge mais le maire a refusé de me donner la parole. Je rends donc publique ma réponse :
“Aucun communiste ne siégeait avec le maire socialiste de 1989 à 1995, je ne parlerai donc pas de ce bilan mais de celui de la municipalité communiste Giorgi-Ricci de 1977 à 1983.
Lorsque le communiste Louis Giorgi, devint maire d’Orange en 1977, il ne pût que constater la gestion calamiteuse de la droite : patrimoine communal à l’abandon (piscine des Cèdres pleine de fuites, toitures des bâtiments communaux et des écoles qui prenaient l’eau), budget de l’assainissement en déficit.
Louis Giorgi et son successeur Gilbert Ricci rétablirent l’équilibre financier et mirent en état tous les bâtiments, sauvèrent de la destruction le théâtre municipal qu’ils transformèrent en salles de réunion, d’exposition et de cinéma.
C’est pourquoi à la mort de Gilbert Ricci, le Théâtre Municipal fut baptisé « Gilbert Ricci » jusqu’à ce que le Maire actuel par anticommunisme, le débaptise.
Entre 1977 et 1983 de nombreux services furent créés : halte-garderie, crèche familiale, archives, école de musique, centre médico sportif, ludothèque, école municipale des sports, office municipal des sports.
Le 1er CLAE fût créé, il allait remplacer progressivement les garderies scolaires, ce fut une véritable innovation pédagogique.
L’ancien collège Saint Louis fut rénové pour devenir le siège des associations et de l’école de musique, la chapelle Saint Louis fut transformée en Auditorium.
Le Musée fut rénové et agrandi, le toit de l’église Notre Dame fut refait également. Une nouvelle école fût construite quartier du Coudoulet.
Les terrains de grands jeux Foot-Rugby furent triplés avec installation de l’éclairage, l’hôtel de ville fut agrandi et rénové, la Ferme des Courrèges fut aménagée pour la pratique du tennis et du ping-pong.
C’est entre 1977 et 1983 que les maires obtinrent la construction du nouvel hôpital et la construction des premiers échangeurs autoroutiers. Voilà pourquoi l’hôpital s’appelle « Louis Giorgi ».
Un peu d’histoire ne fait de mal à personne !
C’est entre 1977 et 1983 que furent créés les transports en commun, le cimetière paysager et le crématorium, le passage sous la voie ferrée sous la route de Camaret.
Je ne connais pas d’équipe municipale qui puisse présenter un tel bilan en 6 ans : Jacques Bompard n’a pas le droit de à salir l’engagement des élus communistes au service d’Orange et de ses habitants !
